De salarié à Patron !

franchise CASH CONVERTERS

CASH CONVERTERS

Leader mondial de l’achat-vente de produits d’occasion aux particuliers

Réseau de franchise spécialisé dans l’achat et la vente de produits d’occasion aux particuliers.

Publiée le

Franchir le cap de devenir son propre patron n’est certainement pas une décision qui se prend à la légère ; c’est pourquoi le réseau Cash Converters soutient ses directeurs de magasins dans ce pas décisif dans leur carrière qu’est de devenir franchisé !

Pour ce faire, deux possibilités s’offrent à eux : 

  • Reprendre l’une des succursales de la franchise Cash Converters 
  • Devenir franchisé associé Cash Converters 

Deux témoignages d’expériences différentes suivent : 

  • Interview de Mathieu Lasson, ancien responsable de magasin intégré pour la franchise.

- Qu'est-ce qui vous a motivé à devenir franchisé ?

La principale raison est l’amour du métier, j’aime clairement ce que je fais. Retrouver le terrain, être davantage au contact des clients, devenir mon propre patron, être maître de mes choix; voilà autant de raisons qui ont fait que j’ai franchi le pas.

Je souhaitais évoluer depuis un moment toutefois je ne m’imaginais pas quitter ce coeur de métier, encore moins la franchise. Mon désir d’ouvrir un magasin Cash Converters a pris de l’ampleur au fil du temps jusqu’à devenir réel lorsque l’opportunité de reprise du point de vente de Saint-Maximin s’est dessinée.

In fine, il s’agit d’un projet commun entre la franchise qui a la volonté de faire monter en compétences ses responsables de magasin et moi qui voulais me mettre à mon compte pour voler de mes propres ailes.

- Quel a été l'accompagnement de la franchise dans votre projet d'entrepreneuriat ?

Voilà 10 ans que je travaille avec la franchise, durant toutes ces années j’ai été accompagné dans mon plan de carrière. En ce qui concerne la démarche entrepreneuriale, j’ai été guidé par les membres de la direction.

Même si on en apprend tous les jours, je connaissais déjà l’achat-vente de produits d’occasion. J’ai surtout été formé sur la gestion d’un centre de profit : comptabilité et gestion financière, aspects juridiques et administratifs, management d’équipe ou encore stratégie commerciale.

Julien et Fabien, membres de la direction, grâce à leur grande expérience terrain, ont été d’un grand appui.

- Que pouvez-vous nous dire sur votre magasin ?

Le magasin de Saint-Maximin est situé dans la zone de Saint-Maximin/Creil. La clientèle est hétéroclite, nous captons différents profils avec une grande variété de produits allant du top budget (électroménager à petit prix) au haut de gamme (bijoux et maroquinerie de luxe d’occasion).

Ce magasin historique de la franchise et à fort potentiel réalise de très belles performances même si celles-ci ont légèrement diminué ces dernières années. Depuis mon arrivée dans les murs en juillet 2019, le point de vente connaît une croissance à deux chiffres : +20% à +40% de CA par rapport à l’année précédente.

Je suis satisfait du résultat actuel même s’il nous reste encore du chemin ! L’activité retail a de beaux jours devant elle et avec le e-commerce c’est encore plus prometteur. Nous vendons également sur les deux sites de la franchise, cashconverters.fr et lebijoucash.fr; ainsi que ainsi que sur les marketplaces partenaires. Toute l’équipe est mobilisée pour tirer des bénéfices sur l’activité web.

- Un mot sur le “consommer malin” et l'économie circulaire ?

Nous vivons dans une société qui consomme beaucoup : les gens changent de téléphone tous les 6 mois et de PC tous les ans. Avec ce constat, j’adhère à 100% au concept de “consommer malin” car il y a une vraie logique économique derrière. J’encourage aussi les initiatives qui visent à consommer différemment, à consommer plus responsable en achetant ou vendant d’occasion.

  • Interview de Guillaume Lamblin, ancien acheteur-vendeur qui a gravi les échelons jusqu’à devenir franchisé

J’ai commencé mon parcours chez Cash Converters en 2013 en tant qu’acheteur-vendeur à Capinghem. C’était mon premier travail à temps plein. En 2015 j’ai rejoint l’équipe du magasin de Lille toujours avec la casquette d’acheteur-vendeur. Un an plus tard, je suis passé responsable du magasin.

- Qu'est-ce qui vous a motivé à devenir franchisé ?

J’ai toujours eu soif de défis, je voulais franchir une nouvelle étape dans ma vie et posséder ma propre entreprise. L’idée de devenir franchisé a trotté dans un coin de ma tête pendant un long moment jusqu’au jour où je me suis dit qu’il est temps de me lancer. Entre le rêve et la concrétisation de mon projet, 12 mois se sont écoulés.

- Quel a été l'accompagnement de la franchise dans votre projet d'entrepreneuriat ?

J’ai bénéficié de multiples accompagnements, aussi bien au niveau administratif qu’au montage du dossier bancaire. Ce ne sont pas des choses simples, j’étais novice dans le domaine et il était très appréciable d’être guidé au cours de ces différentes étapes. La franchise a également soutenu mon projet au niveau capitalistique; aujourd’hui j’ai le statut de franchisé associé.

D’un point de vue opérationnel, je sais désormais gérer un compte d’exploitation complet. En tant que responsable de magasin ce n’était pas aussi poussé...et puis quand il s’agit de son propre argent, c’est forcément différent.

- Que pouvez-vous nous dire sur votre magasin ?

Il fait 120m², c’est un magasin City situé au coeur de Lille. Je manage deux acheteurs-vendeurs polyvalents, nous sommes donc trois au sein de la boutique. La zone possède un énorme potentiel, nous sommes d’ailleurs quatre concurrents dans la même rue (la plus fréquentée du centre-ville) mais cela ne nous empêche pas de réaliser de très belles performances. A l’échelle du réseau, Cash Converters Lille fait partie des 15 meilleurs magasins City et nous espérons performer davantage pour intégrer le top 10 d’ici la fin de l’année, et pourquoi pas le top 5 les mois qui suivront.

Notre croissance est principalement due aux rénovations de 2017, le magasin est passé à la nouvelle charte du réseau : nouvelle couleur, nouveau mobilier, un cadre plus propice à l’achat. Nous travaillons également nos familles de produits pour les adapter aux besoins de la clientèle.

- Un mot sur le “consommer malin” et l'économie circulaire ?

Pourquoi payer cher lorsqu’on peut acheter d’occasion ? C’est la question que je me pose souvent et que les clients se posent aussi. Le consommer malin prend de plus en plus de place dans les modes de consommation ce qui est parfaitement compréhensible. Parallèlement, si nos comportements peuvent être bénéfiques pour la planète cela nous permet de faire d’une pierre deux coups.